Velcade mises en garde et précautions Indications/Possibilités d’emploi En association avec le melphalan et la prednisone chez les patients atteints de myélome multiple non traités jusque-là. En association avec une chimiothérapie standard et une transplantation de cellules souches chez les patients adultes atteints de myélome multiple. Traitement des patients atteints… Read more »
Nouvelle technique de contrôle du myélome
Rodney Benjamin est l’un des 26 malades qui ont participé à une étude pilote pour tester une nouvelle procédure de scanner.
Elle s’appelle IRM corps entier avec séquences de diffusion et elle enregistre la distribution des directions de diffusion des molécules d’eau dans les tissus. Elle pourrait aider les médecins dans leur choix de traitement.
Autre avantage, éviter le recours aux ponctions lombaires.
Dans la chimiothérapie conventionnelle plusieurs nouveaux médicaments de chimiothérapie utilisés dans le traitement d’autres cancers ont été récemment proposés pour traiter les myélomes réfractaires. Parmi les nombreuses molécules en cours d’étude, on peut citer les essais portant sur :
La vinorelbine (Navelbine™), en association avec la dexaméthasone
Les taxanes (Taxol™ ou Taxotère™), en monothérapie
Le topotécan (Hycamtin™), en monothérapie, qui est un inhibiteur de la topo-isomérase II
Les options thérapeutiques sont soumises à une réglementation qui, d’une absence de traitement à la greffe de cellules souches, garantit une prise en charge adaptée et optimale pour chaque malade. Aujourd’hui les médecins disposent de médicaments, beaucoup plus efficaces qu’il y a une quinzaine d’années, et de nouvelles stratégies de traitement, si bien que le myélome, que l’on ne guérit pas encore complètement, tend à devenir une maladie chronique.
Pas de traitement pour le stade I Face à un diagnostic de myélome, la première grande question des médecins est de déterminer si le myélome relève d’un traitement dès maintenant, ou s’il s’agit d’un myélome asymptomatique indolent d’évolution très lente (stade I de la classification de Durie et Salmon) qui ne nécessite qu’une surveillance régulière.
Pour évaluer la réponse au traitement d’un malade, la surveillance du pic monoclonal est essentielle.
Une électrophorèse des protéines est réalisée après chaque phase de traitement et permet d’apprécier le niveau de réponse, c’est-à-dire la façon dont la maladie régresse sous traitement, ce que l’on définit par la rémission. La persistance du pic signifie qu’il existe dans la moelle osseuse des cellules myélomateuses qui n’ont pas été détruites par le traitement. On parle de maladie résiduelle.